Qualité de l’eau et perturbateurs endocriniens  

 In À l'Assemblée Nationale, Actualités

La Commission Développement durable recevait aujourd’hui les Directeurs et Directrice des Agences de l’eau dans le cadre d’une table ronde sur la politique de l’eau en France.

A cette occasion, j’ai souhaité interroger les personnes auditionnées sur la qualité de l’eau et sa contamination par les résidus chimiques, perturbateurs endocriniens probables ou avérés. Voici ma question :

Selon une enquête du Centre d’information sur l’eau publiée hier, 74% des Français souhaiteraient recevoir plus d’information sur le traitement et la qualité de l’eau du robinet. L’amélioration de la qualité de l’eau est en outre placée en priorité numéro 1 par les citoyens interrogés.

Si les pesticides et les nitrates sont une cause de pollution bien connue, les micropolluants issus des cosmétiques et produits pharmaceutiques (tels que les phtalates, le bisphénol A, les résidus d’acide acétylsalicylique , de bêta-bloquants, ou encore de pilules contraceptives) sont une source de préoccupation croissante pour nos concitoyens.

En effet, ceux-ci s’inquiètent des impacts, sur leur santé, de l’ingestion de substances identifiées comme perturbateurs endocriniens, probables ou avérés.

Comme le soulignent mes collègues Adrien Morenas et Loïc Prud’homme dans leur rapport sur la Ressource en eau, « une action préventive et curative de grande ampleur doit être engagée » pour préserver la qualité des eaux.

Aussi, quelles mesures innovantes pourront être prévues dans le 11e programme-cadre des Agences de l’eau, pour mieux traiter les causes et les conséquences de cette pollution sur nos masses d’eau ?

▶️ Pour consulter la réponse, cliquez ici

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